Vieux Tradha contre Fallivion

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Le 3 novembre, 20000 gabriellites et 35000 soldats du Vieux Tradha se retrouvent dans la vallée de Milot pour commencer le combat, à 18:30, le bilan est de 8 400 morts côté Fallivion, 14 400 côté du Vieux Tradha.

Le 4 novembre, une.véritable guerre de machines est déclarée, 200 avions sont mobilisés côté gabriellite, 34 du côté du Vieux Tradha. Les Kubaïstronaïsônais, alliés de Fallivion, bombardent le porte-avion du Vieux Tradha.

24 avions du côté gabriellite (y compris les Kubaïstronaïsônais) sont abattus contre 34 du côté du Vieux Tradha. L'unique porte-avion du Vieux Tradha est coulé.

Le 5 novembre, un obus de grand calibre est envoyé sur Lahavindingue, capitale kubaïstronaïsônaise, faisant plus de 987 morts.

Les avions de chasse des alliés bombarde l'arsenal du Vieux Tradha qui fait plus de 3000 morts.
Du côté du Vieux Tradha, il reste 10000 hommes pour 7000 gabriellites.
L'armée kubaïstronaïsonaise vient en renfort côté gabriellite, tout comme les rebelles du régime dictatorial labadien. Les soldats gabriellites sont maintenant 30000.

Le dictateur de la région de Labadie Aristide Duvalier ordonne a son peuple de combattre aux côtés du Vieux Tradha mais le peuple est pour une intervention aux côtés des forces gabriellites. Le dictateur régional est assassiné le 7 novembre. Le peuple labadien veut déclarer son indépendance, mais le gouvernement du Vieux Tradha, en guise de réponse, envoie un obus de calibre 115 sur Port Labadie faisant 1000 morts. La révolution labadienne commence.

La nuit du 10 novembre, quasiment tout le peuple labadien et l'armée de Fallivion envoie leurs plus grands obus sur ce qu'il reste du régiment du Vieux Tradha.

Tout ce qu'il restait des armes et des soldats du Vieux Tradha est parti, de la bataille de Port Labadie seuls 35 soldats tradhéens sur 35000 ont survécu, qui se sont tout de suite rendus. et 6500 gabriellites sur 20000.

Elle restera encrée à jamais comme l'une des batailles les plus meurtrières au monde.

Suite à cette bataille meurtrière, un nouveau pays est fondé : l'union des Caraïbic-Atlantic, où sont réunis tous les pays des Caraïbes.

(Fallivion/Vieux Tradha, à toi de créer ce nouveau pays avec un autre compte et de remplir le formulaire de création de nation, comme les autres pays. Ce serait bien que tu me communiques aussi la suite du conflit, et, s'il est terminé, je t'autorise, avec les deux comptes, à inscire des éléments précisant le traité de paix.)

Nous sommes le 14 novembre et la bataille de Yärskronsborgen (IRL Kronstadt) vient de commencer, dans la péninsule Danielvotsky, dans les environ de Bastille (Irl St-Petersbourg). Cette bataille aura lieu sur une île de 20 km², ce qui fera un combat encore plus dur que à Port Labadie (où la vallée de Milot mesurait plus de 2000 km²).

Le Vieux Tradha est sur le front ouest, côté mer Danielvotsky.
Fallivion et les Îles Unies des Caraïbic-Atlantic (United Islands of Caraïbic-Atlantic) sur le front est, coté Bastille.

Vieux Tradha : 25 000 hommes
Fallivion + Caraïbic-Atlantic : 38 000 (Fallivion : 16 000, Caraïbic-Atlantic : 22 000)

Le combat est lancé, le Vieux Tradha envoie le premier obus de calibre 125 sur l'arsenal allié, faisant plus de 12 000 morts et faisant perdre 25 000 armes aux alliés.
En échange, l'armée alliée envoie trois avions de chasse lançant 10 grenades nucléaires causant la mort de 7 500 hommes et faisant perdre 15 000 armes au Vieux Tradha.

Une véritable bataille navale commence dans l'estuaire avec 2000 bateaux coté tradhéen et 12 500 côté allé. Défaite humiliante pour le Vieux Tradha.

Vieux Tradha : 1 988 des 2 000 bateaux ont été coulés
Alliés : 500 des 12 500 bateaux coulés

Puis les avions font leur apparition, les hommes aussi s'attaquent, laissant à la fin de la journée 17 000 des 25 000 hommes côté tradhéen et 16 000 sur les 38 000 côté allié.

Le 15 novembre, une véritable guerre de machine est déclarée, les avions alliés combattent à nouveau, détruisant tous les biens tradhéens dont 9 avions sur 10, 80 % des armes et tuant 4 soldats sur 5 (19 500 sur 25 000). Coté allié le bilan est de 23 200 soldats morts sur 38 000. Les alliés sont déterminés à gagner lorsqu'ils lancent leurs derniers obus de calibre 150 sur les forces tradhéennes (236 soldats sur 38000 encore en vie) mais, désespéré, un brave soldat tradhéen envoie un obus nucléaire dans le quartier de Pompeii à Bastille (IRL Arrondissement de Petrogradskaïa) tuant 25 000 personne). Les alliés répondent en envoyant les 14 800 survivants combattre les 236 soldats tradhéens, ne laissant aucun survivant. Le Vieux Tradha se rend à nouveau mais le dernier général envoie le dernier obus nucléaire sur Bastille, quartier Norlandskitch tuant à nouveau 48 000 personnes (IRL quartier de Moskovsky), les alliés, à leurs tour envoie un sous-marin nucléaire et un avion de chasse sur la seule côte tradhéenne.
Malgré deux défaites, le Vieux Tradha n'a pas encore dit son dernier mot.

Le 16 novembre, le sous-marin nucléaire gabriellite arrive à Tröskije, la seule ville balnéaire du Vieux Tradha, détruisant entièrement la ville et faisant 5 000 victimes. L'avion lancé le 14 novembre arrive lui aussi et bombarde la banlieue de Tradha (10 000 victimes) avant de se faire descendre par la sécurité tradhéenne. Shendthem Hoöuawf prévoit la bataille de la montagne rouge près de Tradha le 22 novembre.

Nous sommes sur le site de la bataille de la montagne rouge près de Tradha déplacée au 29 novembre pour faute de manque de soldats.
Les soldats commencent à combattre mais, plus tard, les avions se battent, laissant à la fin de la journée 10000 avions tradhéens sur/20000 et 9800 avions gabriellites sur 15000, tout peut encore être joué.

Une nouvelle aube meurtrière s'annonce, des espions ont été envoyé à Tradha, la résidence du conseiller dictatorial à été rasée, celui-ci est mort. les tradhéens sont fous de rages ! Ils parviennent à pirater une bombe nucléaire gabriellite (opération programmée depuis longtemps), malgré 110 soldats tradhéens et les 5 623 gabriellites restant, le Vieux Tradha est déterminé à gagner cette guerre.

A 4 h du matin, les autorités tradhéennes dirigent la bombe nucléaire symboliquement sur Toussaint, la capitale de la nouvelle Caraïbic-Atlantic sur l'ancienne île de Labadie. Ils étaient au courant de la visite du président gabriellite Ryan Gabriel était en déplacement officiel dans cette ville.
Les soldats gabriellites lancent une dernière bombe sur Tradha, dans la banlieue de Surrandur, causant la mort de 14 000 personnes.
A 19h30 les tout derniers soldats tradhéens se rendent, malgré leurs ruses, jusqu'au moment où les gabriellites apprennent la mort du président Ryan Gabriel et du président Préfete Boyer. Les gabriellites n'ont pas d'autres choix que de se rendre. Le Vieux Tradha gagne la guerre, Bastille leur est rendu. La catastrophe est annoncé...

(Note à Dan Smith/Adam Levine/Ryan Tedder : si traité de paix il y a, explique les conditions (territoire, argent ...))

Nous sommes le 1er décembre et Serpentia est officiellement entrée en guerre, malgré un cessez-le-feu entre Fallivion et le Vieux Tradha.

Malgré la prise de position tradhéenne, les derniers régiments de Fallivion et de Caraïbic-Atlantic (total de 52 000) se dirigent vers Shiiynht-Jyhuzrtignaöe (pronocer Ste-Justina; IRL Miskolc) dans le nord est du Vieux Tradha.

Les troupes alliées pillent par surprise la ville. le président Shndthem Höùavwf est abasourdie, 32 000 personnes sur 47 250 sont tuées dans cette ville connue comme étant la ville natale du dictateur

Celui-ci envoie alors ses troupes au plus vite sur place (40 000 hommes) depuis son nouveau palais présidentiel à Bastille, la nouvelle capitale de la dictature. Le lendemain, les soldats alliés n'étaient plus là.

Justement, à 2h du matin, les soldats alliés, ayant perdu pas mal de leur richesse d'artillerie (2 600 armes sur les 150 000 initiales et 15 avions sur 124), ils commencent un gigantesque feu de foret à 2 km de Gbhurtholkmes (prononcés Bregkohlmen;IRL Budapest) la 2ème (maintenant 3ème ville du pays) avec 829 000 habitants.

Au matin, le feu à dévasté un tiers de la ville faisant 210 320 victimes. En même temps, les armées alliées prennent la ville en otage bloquant toutes les entrées et sorties et placent tous leurs canons à obus tout autour de la ville et menacent de bombarder la ville si le gouvernement tradhéen ne rend pas Bastille et s'il ne participe pas au refinancement de Toussaint pour la reconstruire à l'identique. Le gouvernement tradhéen n'a pas le choix que de rendre
La ville aux gabriellites, qui brûlent le palais présidentiel, Shndthem Höùavwf déclare que ce n'est toujours pas fini et que ses soldats arrivent.

Dans la soirée, Drew Xyonk et Télémak Dessalines envoient un message urgent au régiment disant qu'ils ont : "Abusé de leurs pouvoirs" et que "leurs actes [étaient] inadmissibles". Les chefs d'états ordonnent la continuité de l'occupation de Bregkolhmen, mais que, malgré "la rage" que pouvaient avoir beaucoup de soldats, "ne plus tuer des civils innocents."

La bataille de Bregkohlmen a donc commencé ce matin, à 3 km de la cité devenue une véritable enclave gabriellite, le gouvernement tradhéen s'est à nouveau installé à Tradha, mais ce que les forces tradhéennes ne savent pas, c'est que seuls 15 480 des 15 500 hommes alliés sont sur place, suite à un appel imminent du président Drew Xyong de, si possible, tuer Shndthem Höùavwf...

La bataille commence donc laissant Bregkohlmen à Fallivion faisant 10 230 morts coté gabriellite et 10 000 morts sur 20 000 soldats côté tradhéen.
Pendant ce temps, les agents secrets se sont infiltrés dans le parlement tradhéen...

Le Vieux Tradha a lancé une bombe depuis Tradha à Yarnskonigsbergen, où Drew Xyong était en visite, tuant le président et faisant 10 000 victimes dans la capitale provisoire gabriellite.

Serpentia bombarde l'armée tradhéenne à Bregkohlmen, offrant une puissante aide à l'armée gabriellite.

Suite au bombardement de Yarnskonigsbergenun a eu lieu un énorme incendie détruisant entièrement la capitale provisoire gabriellite et ruinant une des plus grandes merveilles gabriellites, la cathédrale Gabriel, premier évêché du pays, considérée comme le "Panthéon des héros et des rois gabriellites". Drew Xyong restera donc un héros, à jamais dans l'ombre.




Les gabriellites en ont assez et veulent vraiment en finir avec cette guerre interminable, alors que la bataille continue, les agents secrets gabriellites infiltrent le palais présidentiel et le cependant "parlement" (plutôt siège des conseillers du dictateur, dont la moitié ont été tué par le dictateur lui-même). L'explosion a donc lieu, réduisant les deux bâtiments en cendres et tuant la quasi-totalité des partisans du dictateur, mais, manque de chance, le dictateur et sa compagne on réussi à s'échapper. Les gabriellites promettent une forte récompense à quiconque fournira des informations sur la fuite du dictateur.

Pendant la bataille, seule la moitié du régiment était en train de se battre, l'autre moitié a atterri en avion pendant la nuit, ne laissant aucune trace, dans la direction de Tradha. Même opération qu'a Bregkohlmen, il prennent la ville en otage, mais cette fois-ci, sans déclencher de feu. A la fin de la journée, les tradhéens se rendent, perdant la bataille et démunis de leurs forces, tandis qu'a Tradha, la situation est en train d'être décidée, il semblerait que les tradhéens soient livrés à eux-mêmes !

Ce matin même, le gouvernement du Vieux Tradha a décidé de se rendre et Tradha et Bregkohlmen sont officiellement gabriellites.

Dans le même temps, le dictateur Shndthem Höùavwf se retrouve déguisé dans un hôtel non loin de Hettlinsburg (IRL Nurenberg) celui-ci sort prendre l'air, mais un démocrate tradhéen passe dans les parages et signale sa présence aux autorités gabriellites, mais entre-temps, sa femme prend sa revanche, car son mari l'a trompée de nombreuses fois, et le tue d'une balle dans le crâne du haut du premier étage de l'hôtel ! La guerre tradhéenne est officiellement terminée avec Fallivion !

Suite au meurtre de Shndthem Höùavwf, Jean Rolfin annonce la suspension des opérations militaire programmées contre le Vieux Tradha et demande une entrevue dès que possible entre les représentants des pays belligérants.